Mes débuts vers le véganisme et le crudivorisme

Partie 1 de 3 sur les changements de mon mode de vie!

virage à 180° du mode de pensée

À partir de 2015, mon alimentation et mon mode de pensé ont énormément changés.
J’ai commencé à voir le monde comme un ensemble, des êtres vivants tous reliés les uns aux autres sur une balance à part égale. Si un déséquilibre arrive d’un côté, l’autre en subit les conséquences.
J’aspirais et j’aspire à un mode de vie qui respecte entièrement la nature dans laquelle nous vivons et faisons partie. Un mode de vie qui respecte les animaux humains et non-humains.
Je souhaitais et souhaite vivre dans un monde ayant plus de compassion et qui n’irait plus à l’encontre du corps humain, de l’environnement et des animaux non-humains.

J’ai commencé à voir les points faibles de la médecine moderne; la conception du corps (machine) et de l’esprit (émotions) comme 2 entités séparées et l’irradiatcation du symptôme au lieu de la cause 1ère du symptôme, etc. J’avais l’impression que je devais tout désapprendre pour m’approcher de ce qu’il y a de mieux pour soi et les autres. J’ai alors décidé de prendre mon bien-être et celui des animaux en main.

Durant l’année 2015, j’ai passé d’une alimentation conventionnelle basée sur les animaux avec beaucoup de produits industrialisés (pièces d’animaux, produit laitier de vache, produits contenant du gluten, jus fait de concentré, craquelins, céréales sucrées, biscuits, pâtisseries, chips, etc.), à une alimentation végétarienne plus maison (pendant environ 2 mois), à une alimentation végétalienne plutôt cuite contenant beaucoup de mets maison, de légumineuses, de légumes, de noix, de graines et de fruits (environ 6 mois), à une alimentation de plus en plus crue et vivante contenant de plus en plus de fruits et légumes frais, de noix et graines crues et de germinations.

Ce retour à l’évidence est arrivé grâce à mon cours d’éthique au Cégep de Trois-Rivières (Québec, Canada) et mon intérêt pour les produits de soins et cosmétiques écologiques et naturels. Je souhaitais utiliser des produits non toxique et sains qui respectent notre foyer, la terre. Le cours d’éthique m’a grandement ouvert les yeux sur la souffrance inutile que nous infligeons à nos semblables, les autres animaux. Je ne contribuerais plus à la cruauté des tests animal. Plus je réfléchissais, plus je me trouvais hypocrite de ne pas utilisé de produits testés sur les animaux, mais de contribuer à les tuer en payant quelqu’un (le boucher) pour qu’il les tue à ma place, tout ceci dans le but que je consomme leur chair. C’était et C’EST mal. Voilà que j’étais végétarienne.

Personne ne désire ni ne mérite la mort et la souffrance. Un plaisir gustatif et l’amusement ne valent pas des vies sacrifiées.

Les groupes Facebook sur le végétalisme et le véganisme, les associations et les documentaires m’ont rapidement fait découvrir à quel point l’industrie des poules pondeuse et des vaches laitières était et sont meurtrières. Sans parler de la pollution causée par l’industrie « alimentaire » animale. Même si j’étais une accro des produits laitier de vache, consommer les sécrétions mammaires et le placenta (constituant des œufs) d’une autre espèce me répugnait et me répugne! Voilà que j’étais et je suis végétalienne et même végane, car j’avais déjà arrêté d’acheter des produits testés sur les animaux et que je ne voulais plus et ne participe plus à l’exploitation animale des cirques, des aquariums et des zoos.

Pour en savoir plus sur le véganisme, il y a la Foire Aux Questions.

En route vers le crudivorisme

Durant l’année 2015, j’ai découvert l’alimentation crue grâce au livre de recette de David Côté ancien propriétaire de Crudessence (restaurant à Montréal qui n’est plus du tout cru à ce jour) que j’avais découvert à l’exposition Manger Santé et Vivre Vert à Montréal. Riches en noix et plutôt dispendieuses, ces recettes étaient plus complexes et cela me dérangeait, mais j’étais tout de même impressionnée et fascinée par cette alimentation, ce mode de vie. En m’intéressant au sujet, j’ai découvert des vlogueurs/vloggeuses, comme Fullyraw Kristina et Thierry Casasnovas, des groupes Facebook, comme Vivons Cru au Québec et En santé avec une alimentation vivante (mon préféré de tous les groupes que je fais partie, dont je suis maintenant coadministrateur avec Frédéric! Yé!).

Grâce à toutes ces ressources, je me suis aperçue que l’alimentation vivante était et est loin d’être compliquée ou obligatoirement dispendieuse! Elle n’avait pas à se résumer aux noix et graines, mais pouvait facilement se baser sur les fruits frais en majorité et beaucoup de légumes. JOIE DANS MON COEUR! J’ai tout d’abord commencé par remplacer le petit déjeuner par un smoothie ou uniquement des fruits. Comme je trouvais cela très facile, j’ai également remplacé le repas du midi par un repas cru; majoritairement composé de fruits ou fruits et légumes mélangés. Puis, graduellement remplacer le repas du soir également. Ce petit dernier a été le plus difficile, mais plus je découvrais de nouvelles recettes salées crues, moins j’avais envie d’autre chose de néfaste et de transformé. Plus j’en mangeais, plus j’en voulais et plus mon corps en redemandait. L’alimentation crue m’a permis d’avoir encore plus de plaisir à cuisiner, à manger, à apprécier et même ADORER les FRUITS!

Pour en savoir plus sur l'alimentation vivante, il y a la Foire Aux Questions.
​Pour la partie 2 des changements de mon mode de vie cliquez ici!

Et vous, quels sont vos débuts vers la conscience et la santé? Par quel cheminement êtes-vous passé?